Depuis 2017, octobre est le mois de l’Imaginaire. Une grande fête dédiée aux littératures de l’Imaginaire animée par les éditeurs, libraires, médias et prescripteurs (mise en avant de livres, rencontres…).
Par ce top, je voulais y participer à ma manière, en vous parlant de dix de mes lectures inoubliables de ces quatre dernières années.
Des romans que j’ai volontairement tiré des catalogues de maisons non spécialisées, pour bien montrer que l’Imaginaire est partout. Y compris aussi avec des romans d’auteurs qui n’ont pas cette “étiquette” (mais au diable les catégorisations).
Au plus près du réel ou non. Que ce soit pour parler du futur ou pour réinventer le passé. Pour imaginer un monde ou raconter le nôtre. Ou encore pour faire ressentir des émotions fortes, ces romans sont uniques. Et la preuve que l’Imaginaire n’est pas un sous-genre, mais a bien sa place à la grande table éternelle de la Littérature.
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Elly Bangs – Unity (Albin Michel – 2022)
Unity se révèle être tout ce que j’attends d’un roman de SF. Du rythme sans jamais sacrifier l’histoire, des personnages complexes, un environnement post-apocalyptique travaillé, des bonnes idées à la pelle, des surprises constantes, de l’originalité dans l’approche, des questionnements sociétaux et environnementaux doublés de réflexions philosophiques profondes, et un message qui porte.
L’histoire a le goût d’un thriller, sans en être vraiment un. Derrière certaines scènes d’action, Elly Bangs développe un nombre incroyable de sujets, sans en faire trop. Apportant une réelle profondeur au réflexions.
Unity est un récit profondément humaniste, dans ce monde en perdition. Une bonne dose de pessimisme mais teintée d’espoir. Par la recherche d’une plus grande conscience (pour prendre conscience des autres et de la situation).
Chronique complète à venir…
4ème de couverture :
Danaë est unique. Danaë est multiple.
Elle a trouvé le moyen de compiler en elle d’autres existences que la sienne, douze mille ans d’expériences humaines diverses. Comment ? C’est son inestimable secret.
Piégée dans la cité sous-marine de Bloom City, à la veille d’une énième guerre mondiale, elle cherche un moyen d’échapper à ses propriétaires : le clan Méduse, une bande d’excités de la machette, tatoués et scarifiés.
Elle n’a que trois jours devant elle pour rejoindre Redhill, sur la terre ferme. Trois jours pour se rendre à un rendez-vous dans le néo-désert dont dépend rien de moins le futur de l’humanité.
Alexeï, un mercenaire, pourrait l’aider, mais elle ignore s’il est digne de confiance.
Aux marches du désespoir, fatiguée, menacée de toutes parts, Danaë ira jusqu’au bout de ses convictions, car son secret ne doit pas tomber dans de mauvaises mains. Jamais.
Anthony Doerr – La cité des nuages et des oiseaux (Albin Michel – 2022)
C’est un incroyable voyage auquel nous convie Anthony Doerr. Dans le temps et l’espace (au sens propre comme au figuré), à travers la source même de la création et de l’imaginaire.
Ce sont des histoires multiples qui vont s’enchevêtrer, d’abord suivant des chemins en parallèle avant de trouver un trajet commun : le parcours de l’ancestral texte de Diogène, sorte de conte fantastique.
700 pages plus tard, et une lecture qui aura emmené le lecteur à travers un périple inédit. Un livre fleuve, un roman monde, dont on sort profondément enrichi. Qui démontre la puissance d’un livre ancien, et combien il peut chambouler des existences.
Un hommage à la littérature sous toutes ses formes (d’ailleurs ce roman est multiple dans ses ambiances et ses narrations, du roman historique à la fiction contemporaine, ou encore du thriller à la SF).
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4ème de couverture :
Un manuscrit ancien traverse le temps, unissant le passé, le présent et l’avenir de l’humanité.
Avez-vous jamais lu un livre capable de vous transporter dans d’autres mondes et à d’autres époques, si fascinant que la seule chose qui compte est de continuer à en tourner les pages ?
Le roman d’Anthony Doerr nous entraîne de la Constantinople du XVe siècle jusqu’à un futur lointain où l’humanité joue sa survie à bord d’un étrange vaisseau spatial en passant par l’Amérique des années 1950 à nos jours. Tous ses personnages ont vu leur destin bouleversé par La Cité des nuages et des oiseaux, un mystérieux texte de la Grèce antique qui célèbre le pouvoir de de l’écrit et de l’imaginaire.
Et si seule la littérature pouvait nous sauver ?
CHUCK WENDIG – Les somnambules (Sonatine – 2021 / Pocket – 2022)
Immense ! Par sa taille et par son contenu, au sens propre comme au figuré. Enorme ! Par sa profondeur et sa dimension, de son épaisseur à sa substance.
1164 pages. Et pas une de trop, pas l’ombre d’un sentiment de remplissage, pas la moindre pointe d’ennui.
Dans ce roman fleuve, il y a tout. Chuck Wendig a su y imprimer et alterner tout ce qui fait un exceptionnel divertissement intelligent. Sans jamais aucune impression de redite. Action et réflexion, sentiments et émotions, surprises et imagination, violence et bonnes ondes, évasion et analyse.
Le cœur palpitant du roman, ce sont les personnages. Ses neurones tissent leur toile à travers cette intrigue gigantesque. Ses tripes nouées sont le vrai mal qui ronge les Hommes.
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4ème de couverture :
Un récit visionnaire et apocalyptique !
Une petite ville, perdue en Pennsylvanie. La jeune Nessie quitte sa maison, mutique, absente, le regard vide. D’abord persuadée qu’il s’agit d’une crise de somnambulisme, sa grande sœur Shana la suit. Mais elles sont bientôt rejointes par une deuxième personne, puis une autre, et d’autres encore Toutes frappées des mêmes symptômes. Toutes se regroupant pour avancer vers une destination inconnue. Devant l’impossibilité de les stopper sans les condamner à mort, leurs proches leur emboîtent le pas, devenant leurs gardiens. Leurs bergers. Mais face à ce mal nouveau et mystérieux, les failles du pays se révèlent, la société se fissure, faisant le lit de tous les extrêmes…
Jérémy Fel – Nous sommes les chasseurs (Rivages – 2021)
En entrant dans ces pages, Jérémy Fel attend que vous lâchiez prise. Pour vous laisser porter, emporter. Vous laisser broyer, ronger. Vous laisser perdre, vous abîmer. Vous laisser pervertir aussi. Si vous acceptez ce parti pris, cette lecture sensorielle sera de celles dont vous vous souviendrez très longtemps.
Nous sommes les chasseurs est un roman qui ne peut être anticipé. 10 chapitres comme autant d’histoires qui pourraient être distinctes. Comme de longues nouvelles, de 70, 100 ou encore 150 pages. Sauf que des liens subtils apparaissent au fil du temps.
Sa construction labyrinthique est audacieuse mais jamais prétentieuse. Il cherche à ce qu’on vive son texte ; ressenti de l’extrême. Pour comprendre aussi, après avoir éprouvé. Jamais en s’enfermant dans une zone de confort, au risque que le monstre lui échappe. Risque maîtrisé, au final, mais ce n’était pas gagné d’avance !
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4ème de couverture :
Dans un univers sombre et magnétique, où les époques et les lieux se superposent jusqu’au vertige, Gabriel, Damien ou Natasha se débattent avec de vieilles peurs héritées de l’enfance et leurs pulsions les plus inavouables.
Jérémy Fel entraîne ici son lecteur dans un imaginaire éblouissant, où cruauté et trahison règnent en maître. Comme dans un palais des glaces, les destins se répondent et se reflètent, créant un monde où visible et invisible, réel et fiction, se confondent.
Peng Shepherd – Le livre de M (Albin Michel – 2020 / Le livre de poche – 2022)
Peut-on penser que le roman post-apocalyptique a encore quelque chose à inventer ? Entre les nombreux chefs-d’œuvre passés et la crise du COVID-19, une nouvelle venue pouvait-elle encore s’affirmer ? Oui, son nom : Peng Shepherd.
Cette histoire s’insinue dans vos pores et votre âme. C’est le genre de lecture impossible à oublier, qui vous trotte en tête, jusqu’à vous empêcher de démarrer un autre livre ensuite.
Cette fable noire s’apprivoise. L’écriture, à la fois descriptive et forte, devient au fil des pages un parfait vecteur d’émotions. L’intrigue est surprenante sans jamais tomber dans la surenchère, par touches subtiles ou parfois brutales. Un livre dont il convient d’apprécier tous les passages, et les lire lentement.
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4ème de couverture :
Que seriez-vous prêt à sacrifier pour vous souvenir ?
Un jour, en Inde, un homme perd son ombre – un phénomène que la science échoue à expliquer. Il est le premier, mais bientôt on observe des milliers, des millions de cas similaires. Non contentes de perdre leur ombre, les victimes perdent peu à peu leurs souvenirs et peuvent devenir dangereuses.
En se cachant dans un hôtel abandonné au fond des bois, Max et son mari Ory ont échappé à la fin du monde tel qu’ils l’ont connu. Leur nouvelle vie semble presque normale, jusqu’au jour où l’ombre de Max disparaît…
Situé dans une Amérique tombée de son piédestal, où nul n’échappe au danger, Le Livre de M raconte l’incroyable destin de gens ordinaires victimes d’une catastrophe mondiale extraordinaire.
Erin Morgenstern – La mer sans étoiles (Sonatine – 2020 / Pocket – 2021)
Il existe un monde dans le monde, où les histoires vivent et respirent, où elles sont l’oxygène. Un conte fantastique ? Sans aucun doute, mais qu’est-ce qui vous empêche d’y croire ? Parce que les livres ont un pouvoir immense, vous ne pouvez en douter si vous lisez ces lignes.
L’aventure se fait conte, l’intrigue se fait mythe, avec comme point d’ancrage cet amour irrésolu pour les livres. Métaphoriquement puissant, émotionnellement fort, symboliquement profond. Et incroyablement ludique !
La mer sans étoiles est un don, une véritable offrande imaginaire à ceux qui arrivent à savourer une lecture et savent prendre leur temps, dans un monde réel qui ne cesse de courir. Le genre de roman précieux et extraordinaire, porté par la grâce d’une Erin Morgenstern au talent incroyable.
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4ème de couverture :
Dans la bibliothèque de son université, Zachary Ezra Rawlins trouve un livre mystérieux, sans titre ni auteur. Il découvre avec stupéfaction qu’y est décrite, noir sur blanc, une anecdote de son enfance qu’il n’a jamais répétée à personne. Tout y est : la fausse porte, peinte en trompe-l’œil, l’épée, l’abeille, jusqu’à l’odeur de la sauge… Cette porte, il n’avait pas osé l’ouvrir alors. Une seconde chance lui est donnée de prendre, par un labyrinthe de mots et d’histoires, le chemin de la mer sans Etoiles. Un monde merveilleux fait de tunnels tortueux, de cités perdues et d’histoires à préserver, quel qu’en soit le prix…
Rob Hart – Mothercloud (Belfond – 2020)
Le monde, demain, celui à notre porte. Rob Hart pousse légèrement le curseur temporel, à peine. Une société si proche que nous risquons fort de la connaître encore. Peut-on parler de dystopie alors que tout semble si crédible ?
Mothercloud est un vrai thriller d’anticipation, accessible à tous. En toute humilité, Rob Hart cite à plusieurs reprises ses références dans le livre, 1984, Fahrenheit 451, La servante écarlate. Des romans qui brisent la frontière des genres littéraires et ont vocation à toucher un large public. Quand ambition rime avec accessibilité, sans jamais oublier le divertissement.
Mothercloud est aussi plausible que divertissant, aussi crédible qu’effrayant. Rob Hart a un talent rare, celui de raconter une histoire à message, tout à la fois terrible et réjouissante, prenante au possible. Il nous pousse à la réflexion en nous permettant de prendre un certain recul sur notre monde, avant qu’il ne soit trop tard.
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4ème de couverture :
Effrayant hommage à Ray Bradbury, Margaret Atwood ou George Orwell, MotherCloud nous entraîne dans un monde où le Big Business aurait supplanté Big Brother, un monde d’une perversion totale, pas si éloigné du nôtre.
Ex-petit patron désormais ruiné, Paxton n’aurait jamais pensé devoir intégrer une unité MotherCloud, cette superstructure de l’e-commerce qui a dévoré la moitié de l’économie mondiale. Pourtant, dans une société n’ayant plus rien à offrir, comment peut refuser un job qui propose non seulement un salaire, mais aussi un toit et à manger ?
La jeune Zinnia non plus n’aurait jamais pensé rejoindre MotherCloud, mais sa mission est tout autre : une révolution est en marche dont elle est le bras armé. Devenir salariée n’est qu’un premier pas pour infiltrer le système, en percer les secrets. Le détruire.
Dans cet univers où tout est calculé, paramétré, surveillé, où l’humain disparaît au profit de la rentabilité, où l’individu n’est qu’un algorithme, Zinnia et Paxton réalisent bientôt qu’il est impossible de dévier. À moins d’être prêt à se sacrifier ?
Car derrière sa façade d’entreprise idéale, MotherCloud est une machine à broyer, impitoyable à l’égard de ceux qui oseraient se rebeller.
Mary Robinette Kowal – Vers les étoiles (Denoël – 2020 / Folio – 2022)
Il y a des livres qui brillent. Vers les étoiles en est un. Tout d’abord, grâce à une idée brillante, une uchronie intelligente.
Ensuite, par la manière lumineuse dont le roman est construit. Vu par l’œil d’une femme, loin de de la testostérone habituelle qui accompagne les récits du genre. Une sorte d’Étoffe des héros version féministe et qui se focalise avant tout sur les personnages.
Enfin par la façon éclatante dont l’histoire est racontée, toujours au plus près des émotions, tout en étant travaillée avec rigueur en matière d’environnement scientifique.
Vers les étoiles est une formidable aventure, une épopée racontée au plus près des personnages, de leurs vies, leurs doutes, leurs espoirs, leurs luttes. Mary Robinette Kowal a un immense talent pour parler de génies qui sont avant tout des femmes et des hommes. Elle a cette étincelle d’inspiration qui rend son roman impossible à lâcher et si attachant.
A noter, sa suite : Vers Mars – Le recueil de nouvelles qui a donné vie à ce roman : Lady Astronaute – Le troisième roman du triptyque à sortir en novembre 2022 : Sur la Lune.
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4ème de couverture :
1952. Une météorite s’écrase au large de Washington, dévastant une grande partie de la côte Est des États-Unis et tuant la plupart des habitants dans un rayon de plusieurs centaines de kilomètres. Par chance, Elma York et son mari, Nathaniel, en congé dans les Poconos, échappent au cataclysme et parviennent à rejoindre une base militaire.Elma, génie mathématique et pilote pendant la Seconde Guerre mondiale, et Nathaniel, ingénieur spatial, tentent de convaincre les militaires que la météorite n’a pu être dirigée par les Russes. Mais, ce faisant, ils découvrent que la catastrophe va dérégler le climat de manière irréversible et entraîner, à terme, l’extinction de l’humanité.Seule issue : l’espace. Une coalition internationale lance un programme spatial de grande envergure… inaccessible aux femmes. Elma compte pourtant bien y prendre part et devenir la première Lady Astronaute.
Récit d’une conquête spatiale digne de L’étoffe des héros, Vers les étoiles a reçu les prix les plus prestigieux de la science-fiction : prix Hugo, prix Locus, prix Nebula, prix Sidewise, prix Julia Verlanger.
Stuart Turton – Les sept morts d’Evelyn Hardcastle (Sonatine – 2019 / 10/18 – 2020)
Ce livre est un puzzle, au nombre de pièces inconnu (mais nombreuses). La quatrième de couverture dit que chacune des plus de 500 pages recèle un rebondissement et un morceau de cette énigme. Cela parait impossible, mais c’est pourtant la stricte vérité.
Chaque détail compte. Chaque page sert, non seulement à l’intrigue, mais aussi à s’imprégner des nombreux personnages. Ce n’est pas le genre de texte à lire de manière trop morcelée, mieux vaut s’y plonger intégralement pour parfaitement en profiter. Mais ne prenez pas peur, c’est tellement bien fait et mené avec une telle intelligence que vous ne vous y perdrez pas, si vraiment vous avez l’envie de profiter de cette expérience.
Ce roman tient donc du casse-tête, du jeu de patience, du Memory, de l’enquête… Mais c’est aussi une peinture très détaillée d’un monde aristocratique, début 20ème, qui s’effondre. Mensonges, trahisons, secrets, tout y est. C’est incroyablement fun, formidablement divertissant !
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4ème de couverture :
Prêt pour un plaisir de lecture comme vous n’en avez pas connu depuis longtemps ? Mixez Agatha Christie, Downton Abbey et Un jour sans fin… Voici le roman le plus divertissant de l’année !
Ce soir à 23 heures, Evelyn Hardcastle va être assassinée. Qui, dans cette luxueuse demeure anglaise, a intérêt à la tuer ? Aiden Bishop a quelques heures pour trouver l’identité de l’assassin et empêcher le meurtre. Tant qu’il n’est pas parvenu à ses fins, il est condamné à revivre sans cesse la même journée. Celle de la mort d’Evelyn Hardcastle.
Chef d’œuvre de construction, de références littéraires et d’habileté technique, Aiden croisera lapin blanc et personnage masqué pour tenter de percer le mystère de ce meurtre aux mille tiroirs !
Fabrice Papillon – Régression (Belfond – 2019 / Points – 2020)
Rigueur et imagination. Ce roman raconte l’Homme. A travers les âges mais surtout l’homme moderne confronté à une situation qui va bousculer toutes ses certitudes.
On est loin de certains romans mêlant histoire et science et qui sentent le carton pâte. Fabrice Papillon est un journaliste qui a côtoyé, durant plus de 20 ans, d’illustres scientifiques. Il a joué son rôle d’éponge pour créer des fictions aussi incroyables que crédibles (et pourtant, que l’idée de base de ce roman est dingue !).
Comme le précédent roman, ce second livre a une âme. Une vraie. Parce qu’il parle de sujets forts, que les personnages réels ou fictionnels sont touchants, et que l’écrivain fait passer de vrais messages sur l’évolution de l’Homme. On ne voyage pas que dans le temps, mais aussi dans ses artères.
Il me faut insister sur les scènes contemporaines. Du vrai thriller, elles sont à couper le souffle. J’ai senti une réelle progression dans l’écriture pour ce genre de scènes. Elles sont bluffantes. Une vraie intrigue policière, originale et menée par des personnages qui ont du corps.
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4ème de couverture :
Février 2020 : Vannina Aquaviva, capitaine de gendarmerie à la section de recherche d’Ajaccio, enquête sur un charnier dans une grotte, affaire liée à une autre découverte macabre sur un célèbre site préhistorique de Corse. Quand des scènes de crime similaires surgissent aux quatre coins de l’Europe, les analyses de la police scientifique révèlent des éléments extrêmement troublants, pour ne pas dire inédits… Entre histoire de l’humanité et mythes revisités, ce passionnant thriller questionne avec brio l’urgence écologique.
Régression a été couronné par le Prix Méditerranée polar 2020.
Catégories :Littérature
La cité des nuages et des oiseaux me tente beaucoup 🙂
alors il faut se lancer :-). C’est un très beau roman
Je n’en ai lu que trois sur les dix, Vers les Etoiles, MotherCloud et Somnambules mais Unity me tente bien.
c’est un bon début ;-). Oui, Unity pourrait te plaire
Bonjour, quels descriptifs. Je ne suis pas une grande fan des livres de sciences fictions et j’ai lu votre rubrique à la recherche d’un livre original à offrir à une de mes amies. Mais vos chroniques sont toujours à couper le souffle ! Du coup, je suis même tenter par “la mer sans étoiles” et “les somnambules”. Merci pour ces récits
Merci sincèrement Isabelle pour ce gentil message et pour avoir fait preuve de curiosité
Je vais m’inspirer de ta sélection pour ma table de la seconde partie du mois à la bibliothèque, na !
avec plaisir !
Merci mon ami