1 livre et 5 questions pour permettre à son auteur de présenter son œuvre
5 réponses pour vous donner envie de vous y plonger

NICOLAS DUPLESSIER
Titre : On n’enterre jamais le passé
Éditeur : Lajouanie
Sortie : 22 novembre 2019
Conseiller technique : John Carpenter, acteur Kurt Russel 🙂
Lien vers ma chronique du roman
Fun, rythme, pétarade, courses-poursuites. Quelques mots qui résument un peu ton roman ?
Comme tu l’as dit dans ton excellente chronique, ce roman est influencé par l’univers que j’aime. L’influence est propre à chaque auteur. Ça peut aller de Lars Von Trier, à Hitchcock en passant par San Antonio ou Dan Brown. Là, je ne parle pas de moi. Tout ça ce n’est pas mon kiff.
J’ai construit mon univers dans le vidéo club de mon quartier avec des films comme L’arme Fatale, Die Hard, Last Action Hero, Le Dernier Samaritain, Tango et Cash, 48 Heures, Midnight Run… Je pourrais faire une liste sans fin, je pense, alors je m’arrête là. Beaucoup de Buddy Movies. Quand j’y pense aujourd’hui, le film que j’ai le plus vu dans ma vie est sans aucun doute Dumb and Dumber. Je le regardais jusqu’à 3 fois par jour. Ok, je n’étais pas collé devant, mais je jouais à la Super Nintendo et une petite télé tournait à coté avec ce film. Bref, « fun, rythme, pétarade, courses-poursuites » ça résume assez bien les films que j’aime. C’est donc assez logique si mon second roman est un mélange d’action et d’humour (que j’espère efficace).
Ton livre est aussi plein à craquer de références musicales
Je confirme :-D. De la musique de film au hard-rock né sur le strip de Los Angeles dans les années 80. Un hard-rock fun, sans prise de tête et festif. Je ne vois pas de meilleur bande son pour un livre. Je travaille, lis et écris (liste non exhaustive…) en musique. Impossible donc de ne pas ajouter « quelques » références ici ou là. Ok, tous les lecteurs n’auront pas « les références », mais moi je peux vous dire que chaque chanson est à sa place au moment où j’en parle.
Le ton de tes dialogues est souvent humoristique, mais aussi assez cynique…
Comme tu l’as si bien écrit dans ta chronique : « Ce n’est pas le scénario qui prime, il sert à accumuler scènes d’actions et bons mots ». C’est ma vision des choses et écrire des dialogues est ce que je préfère. Tu n’as pas idée du temps que je passe sur ça ! Même si Lukas (mon « héros ») balance une vanne à la seconde, j’aime les personnages cyniques, désabusés ou pessimistes. Des gars comme Michael Douglas dans Chute libre, Colin Farrell dans Bons baisers de Bruges ou Albert Dupontel dans l’excellentissime Deux jours à tuer. Je suis aussi un grand fan de l’auteur Lawrence Block qui peut faire dire à ses personnages des trucs du genre : « Je pourrais faire un bon végétarien si l’on décrétait un jour que le bacon est un légume ». J’adore.
C’est aussi l’humanité des personnages qui touche…
Ça c’est parce qu’il y a un peu de moi dedans…
Tu as envie de retrouver ton enquêteur des assurances dans le futur ? (moi, oui)
C’est compliqué. Aujourd’hui, je me focalise à 100% sur le développement de ma chaine YouTube (Il en pense quoi Nico ?).
Mais si je me lance dans un troisième roman il n’est pas exclu que l’on retrouve mon enquêteur d’assurances.
Catégories :Interviews littéraires
Allez je le note, le titre du livre, pas Nicolas. 😂 Merci à vous deux pour ce bel échange. I’ll be back. 😉❤️
Dialogue intéressant, le titre du livre l’est aussi!
Ho, je l’aime encore plus avec ces références cinématographiques !!!😁