Je ne me souviens pas
Je ne me souviens pas quand j’ai ressenti autant d’émotions à la lecture d’un roman
Je ne me souviens pas m’être autant attaché à tant de personnages à la fois
Je ne me souviens pas de la dernière fois où j’ai été aussi ébloui par une écriture.
Je me rappellerai toujours
Je me rappellerai toujours de ce livre, qui pour moi deviendra un classique dans les années à venir
Je me rappellerai toujours combien j’ai vécu au plus près des protagonistes.
J’ai eu peur pourtant
J’ai eu peur pourtant des 700 pages, alors que j’en aurais bien repris le double au final
J’ai eu peur pourtant que ces tranches de vie ne suffisent pas à créer le lien.
Je suis subjugué
Je suis subjugué devant ce talent unique à écrire de la poésie en prose
Je suis subjugué devant le talent d’expressivité incroyable de l’autrice, créant le réel avec ses mots.
J’ai été touché au cœur
J’ai été touché au cœur par les messages développés dans ce récit
J’ai été touché au cœur par ces thématiques de tolérance, d’enfance perdue et de droits des femmes.
Je suis engagé
Je suis engagé par le « NON » hurlé de page en page
Je suis engagé par ces valeurs qui sont si proches des miennes.
J’ai été envoûté
J’ai été envoûté par cette ambiance des 60’s
J’ai été envoûté par cette famille étrange et brisée de partout.
J’ai été sidéré
J’ai été sidéré par la dure violence de certaines scènes, pourtant toujours nécessaires et jamais voyeuristes
J’ai été sidéré par le traitement infligé aux minorités et aux femmes, durant cette période et dans un pays « libre ».
J’ai été ébloui
J’ai été ébloui par ce père incroyable qui est la vraie lumière de ce livre
J’ai été ébloui par ce mélange d’éclats et de pénombre.
Je me suis senti réchauffé
Je me suis senti réchauffé par ces émotions, même glaciales
Je me suis senti réchauffé par ce qui est un immense feu de joies et de peines.
J’en ai le souffle coupé
J’en perds mes mots
Je n’oublierai jamais.
Yvan Fauth
Date de sortie : 13 août 2020
Éditeur : Gallmeister
Genre : Fiction
Traduction : François Happe
4° de couverture
“Ce livre est à la fois une danse, un chant et un éclat de lune, mais par-dessus tout, l’histoire qu’il raconte est, et restera à jamais, celle de la Petite Indienne.”
La Petite Indienne, c’est Betty Carpenter, née dans une baignoire, sixième de huit enfants. Sa famille vit en marge de la société car, si sa mère est blanche, son père est cherokee. Lorsque les Carpenter s’installent dans la petite ville de Breathed, après des années d’errance, le paysage luxuriant de l’Ohio semble leur apporter la paix. Avec ses frères et sœurs, Betty grandit bercée par la magie immémoriale des histoires de son père. Mais les plus noirs secrets de la famille se dévoilent peu à peu. Pour affronter le monde des adultes, Betty puise son courage dans l’écriture : elle confie sa douleur à des pages qu’elle enfouit sous terre au fil des années. Pour qu’un jour, toutes ces histoires n’en forment plus qu’une, qu’elle pourra enfin révéler.
Catégories :Littérature, Livre : les incontournables
Bonjour Yvan,
Oui, oui et oui, je partage à 10.000% ton ressenti pour ce remarquable roman !
Merci pour avoir posé des mots aussi justes sur ces 700 pages.
Bonne journée
ça fait plaisir à lire :-). Merci. oui ce livre est époustouflant !
Salut mon ami, ça c’est du billet qui donne envie de le lire. Je ne l’ai pas encore fait, mais je l’ai déjà acheté. J’attends juste le bon moment pour le commencer, et un peu plus de temps … Amitiés
Merci. Tu as raison, il faut trouver le bon moment pour totalement s’y immerger
Ils nous chamboulent cette petite indienne et son merveilleux papa 😍
Et bien avec tous ses compliments, passer à côté serait dommage. Merci du précieux conseil.
Comment ne pas noté après ce post ! merci
merci ;-). Bonne future lecture alors !
Je le vois passer partout mais il fallait tes mots pour réussir à me tenter !
ç
ça fait sacrément plaisir de te convaincre 😉
classieux
merci
Un père merveilleux que j’aurais aimé avoir… un roman merveilleux qui mérite qu’on en parle. Très belle chronique riche en émotions. Tout toi 😉
merci mon amie ;-). Je pense que ce père n’existe pas, mais on peux le rêver, oui
Et bien j’espère qu’il existe quelque part… pour le bien d’une petite fille qui pourrait grandir la tête dans les étoiles…
Je l’ai tellement vu passer lors du mois américain que je l’avais déjà noté. Tu confirmes que c’est à lire !
Ça pour confirmer, je confirme 😉
Allez….ce titre vient grossir ma WL. Je vais etre perdue pour la nation lol. Merci Yvan !!!
ahahah perdue pour la nation cheyenne 😉
Prévu dans mes lectures
je suis sur la liste d’attente de la BM pour ce roman sur lequel je lorgne depuis un bon moment youpi 🙂
bonne future lecture !
Chef oui chef, je vais le lire, j’attends juste aussi le bon moment et c’est pour bientôt !!! 😉
t’as intérêt, sinon je te retrouve, même cachée en Belgique
Quelle chronique ! Merci mon ami
Olala! Déjà que je le voulais! Avec un avis aussi fort, il me le faut de toute urgence!!!!
Merci Yvan! On sent vraiment que t’as aimé et que ce livre est exceptionnel! 😉
tu ne peux pas passer à coté, pas toi, impossible 😉
C’est ce que je me dis! Je vais craquer c’est certain! 😉
Eh bien, quelle présentation !!! 😮
pour un livre qui le mérite tellement, il le faut ! :-). Merci 😉