Festival sans nom 2014 – compte-rendu – 12 et 13 avril

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 Le Festival sans Nom, salon du polar de Mulhouse, 2° édition.

Un plateau de choix pour un salon qui se veut à taille humaine :

STÉPHANE BOURGOIN R.J. ELLORY 

IAN MANOOK MICHAËL MENTION 

MALLOCK JOHAN HELIOT 

CARLOS SALEM VICTOR DEL ARBOL 

OLIVIER GAY DOMINIQUE MANOTTI DOA

DOMINIQUE SYLVAIN JEAN-FRANÇOIS ABGRALL 

JACQUES OLIVIER BOSCO THIERRY BOURCY 

HERVÉ CLAUDE BORIS DOKMAK 

ALEXIS RAGOUGNEAU JULIA M. TEAN 

ANTOINE TRACQUI PATRICE CAVENAIR 

JOHN N. TURNER INGER WOLF 

ERIC MARAVELIAS NICOLAS MATHIEU

Très loin de la surpopulation d’un salon comme Quais du Polar, le Festival sans Nom, deuxième du nom, était une occasion unique de prendre son temps avec les auteurs. Que ce soit durant les séances de dédicaces, les tables rondes ou au détour d’une rencontre sur la place de la Réunion de Mulhouse, l’ambiance était bon enfant, l’accueil chaleureux et l’organisation impeccable (la réputation de l’Alsace n’est pas usurpée).

Bref, ceux qui ne se sont pas déplacés, ont raté une extraordinaire occasion d’échanger longuement et chaleureusement avec des auteurs de grands talents, tous d’une belle accessibilité, le tout dans le cadre d’une mise en place vivante.

La salle où se déroulent les dédicaces :

Le temple de Mulhouse, transformé pour l’occasion en temple du polar. C’est très étonnant et assez impressionnant de suivre des conférences sur le polar dans un lieu aussi majestueux et décalé que celui-ci, surtout quand les thèmes sont (par exemple) : Les tueurs en série aux Etats-Unis ou Scènes de crimes, quand les cadavres parlent.

La fréquentation des deux jours est un peu décevante à mon goût, quand on voit la qualité des auteurs présents (la faute aux autres manifestations le même jour sur Mulhouse ?). En tout cas, pour les lecteurs présents, c’est juste un pur bonheur de pouvoir longuement discuter (sérieusement ou moins sérieusement) avec les écrivains et d’aller les revoir tout au long du WE.

En voici mon compte-rendu, au fil des mes propres rencontres :

Ceux qui suivent ce blog savent à quel point mon admiration pour l’écrivain R.J. Ellory est immense. Pouvoir le côtoyer tout au long de la journée, et ce dès le samedi matin à 10h avant d’entrer au salon, est juste un immense privilège. Cet homme est un gentleman doublé d’un écrivain surdoué (je ne vais pas en rajouter en insistant sur le fait que son dernier roman, Mauvaise étoile, est pour moi un chef d’oeuvre du genre, si ?).

J’ai pu lui faire part de mon ressenti sur ce livre. Lui m’a expliqué qu’il n’était pas parfait, qu’aucun de ses livres ne l’était d’ailleurs. Sa modestie est touchante.

Ellory était le parrain de la première édition, il a accepté de revenir en expliquant (durant sa table ronde) qu’il se sentait comme en famille à Mulhouse. Pour preuve, il me racontait qu’il lui a fallut 15 heures de trajet pour y venir !! Une belle preuve de sa motivation.

Un auteur toujours aussi passionnant à écouter lors des tables rondes et des conférences, qui fait l’effort de parler distinctement pour que tout le monde puisse en profiter (même si un traducteur était présent), un homme fascinant lorsqu’il se met à parler de ses livres, de ses thèmes favoris ou de sa façon de voir l’homme à travers ses bouquins.

De long moments passés en sa compagnie qui m’ont permis également de parler musique, le premier album de son groupe Zero Navigator sortant en juin (pour ceux qui aiment le rock des 70’s, attendez vous à enchanter vos oreilles).

(Énorme) cerise sur le gâteau, il m’avait promis un cadeau lors de notre précédente rencontre à Lyon. Tout intimidé, j’ai reçu de sa part son tout premier roman édité, non publié en France, édition originale dédicacée de sa main et emballé dans un paquet cadeau. Je suis sans voix devant la gentillesse du bonhomme.

Candlemoth, premier roman de l’auteur

Son dernier roman, Mauvaise étoile

Table ronde du samedi avec l’auteur Nicolas Mathieu

Il était écrit sur les tables du polar, que je rencontrerais Ian Manook (et sa charmante compagne) avant tout devant les portes des salons cette année ;-). Déjà à Quais du Polar nous nous sommes rencontrés avant l’ouverture des portes, une fois encore nous avons pu échanger en tout sympathie bien avant d’entrer sur le lieu même des dédicaces. Yeruldelgger est un des meilleurs bouquins que j’ai lu l’an dernier, j’en sais maintenant encore davantage sur son écriture, l’auteur et ses influences.

Passionnante et chaleureuse rencontre (j’adore son T-Shirt, « Strange », souvenirs d’un temps passé…).

Je vais rebondir par rapport à la photo d’en haut et parler d’Antoine Tracqui.

Pas de livre à dédicacer, puisque c’est fait depuis fin d’année dernière au salon de Colmar, mais une très intéressante discussion sur son roman, Point zero, qui est d’une densité et d’une richesse incroyable (je suis en plein dans cette lecture, donc il ne fallait pas trop m’en dire). C’est le premier tome d’une trilogie, dont le tome deux est bien avancé.

Tracqui est médecin légiste à Strasbourg, sa conférence, Scènes de crimes, quand les cadavres parlent, avec Boris Dokmak était à ce titre captivante.

Ah, Mallock, sacré personnage (fictif et réel) ! Un auteur d’un immense talent doublé d’une sacrée personnalité, profondément accessible, souriant et blagueur. Le temps passé avec sa compagne et lui durant deux jours restera un moment très fort de ce salon (et des salons en général). Croiser Mallock et ses livres c’est la certitude d’un moment inoubliable (et le petit dernier Les larmes de Pancrace, en est la preuve : une réussite conciliant admirablement intelligence et divertissement).

Michaël Mention vient de sortir quasiment coup sur coup Le fils de Sam (documentaire romancé) et Adieu Demain (fiction). Je vais le crier haut et fort, ce jeune auteur est bien trop méconnu par rapport à ses qualités. Le rencontrer aura été un autre magnifique moment de ce WE, cet auteur est tellement passionnant et passionné qu’on pourrait discuter avec lui pendant des heures (ça tombe bien, c’est ce qu’on a fait).

Et puis, un mec qui a d’aussi bons goûts musicaux en matière de rock, ne peut être que foncièrement bon ;-). Notre discussion à trois avec Ellory sur la musique, c’était juste le pied intégral.

Deux rencontres en deux semaines, ça va effectivement devenir une habitude, Michaël 😉

John N. Turner, malgré son nom (ou plutôt son pseudonyme), est bien français. Amérithrax est une premier roman que je vais découvrir avec grand intérêt, sur un sujet réel à la base (les enveloppes contenant de l’anthrax, il y a quelques années) qui m’attire beaucoup. De quoi faire une bon thriller étayé (ça tombe bien, l’auteur est bactériologiste). Une rencontre très sympathique, pleine de fraîcheur et l’occasion de constater la véritable solidarité des auteurs du noir envers les nouveaux venus.

Jacques-Olivier Bosco et son histoire de braqueur du 21° siècle qui a pourtant la saveur des flingueurs des années 50 (Loupo). Très intéressant échange sur ce livre et le fait qu’il peut tout aussi bien plaire aux amateurs du noir qu’à la jeune génération. On sent l’auteur vibrer, sincèrement heureux de rencontrer des lecteurs ayant lu son roman.

Place ensuite aux latins de l’édition !

Victor Del Arbol et Carlos Salem, côte à côte, deux styles différents mais une même passion qui les anime. Deux auteurs qu’il me reste à découvrir à travers leurs romans, et deux autres belles rencontres. Un espagnol et un « moitié argentin, moitié espagnol » (comme Salem le dit lui même) qui font l’effort de parler en français (et se débrouillent plutôt pas mal !). Vamos !

Quand on se ballade dans un salon, on a souvent la liste des auteurs qu’on souhaite rencontrer. Et puis il y a les rencontres inattendues. C’est le cas d’Eric Maravélias, donc le couple Manook m’a fait l’éloge ;-). Une rencontre étonnante, détonante, d’un nouvel auteur du noir qui a mis beaucoup de son passé dans son livre qui vient tout juste de sortir (La faux soyeuse). Un survivant, comme il le dit lui-même et un polar qui est tout sauf un exorcisme. Comme il l’explique, il s’appuie sur son passé difficile, parle de ce qu’il connait, tout en proposant une vraie fiction noire. Sacré personnage, bel échange.

L’autre façon de se lancer dans un achat imprévu est de découvrir un auteur en l’écoutant lors d’une conférence. Hervé Claude (que je ne connaissais qu’en tant que journaliste), m’a réellement passionné lors de la conférence commune avec Ellory et Manook (voir plus bas). Il semble avoir un univers qui lui est propre, avec ses romans qui se déroulent en Australie. Je sens poindre le roman intelligent, le divertissement dont on sort pourtant un peu différent et grâce auquel on en apprend davantage sur l’humain. Auteur de plusieurs romans noir, je vais prendre le train en marche avec son dernier en date, Les mâchoires du serpent.

Le salon a proposé, durant trois jours, de nombreuses manifestations, concerts ou conférences. J’insisterai sur l’une d’elle, le dimanche, avec pour thème La fascination de l’ailleurs. Une heure de pur bonheur, avec un échange entre trois auteurs sur la même longueur d’onde : R.J. Ellory, Ian Manook et Hervé Claude. Ou comment les polars se déroulant loin de notre bonne vieille France, nous font voyager tout en nous enrichissant. Une triple intervention magnifique et captivante.

Au final, un WE consacré au polar comme il en existe peu et qui prouve que les absents ont toujours tort. Sincèrement, ne ratez pas la troisième édition. Un grand merci aux organisateurs pour avoir tant apporté aux personnes présentes.



Catégories :Dédicaces, Littérature

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37 réponses

  1. Tu me donnes furieusement envie d’aller à Mulhouse, toi…hum mais une semaine après Lyon, comment est-ce possible quand on n’est pas régionaux de l’étape comme vous 2 😉 ??? Passionnant, merci.

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      merci Valou 😉
      La date n’est clairement pas idéale, les organisateurs vont y réfléchir pour (j’espère) la 3° édition

  2. Même réflexion que Valou… Les QdP et Mulhouse sont trop rapprochés… Heureusement que nous y sommes un peu grâce à toi… Je suis impatient d’avoir ton sentiment sur « la maison des chagrins ».
    En tout cas, tu en as bien profité et ton enthousiasme fait plaisir à voir… A bientôt… 🙂

    • Tu as raison Vincent, un sentiment sur la maison des chagrins et un autres sur Améritrax, s’il vous plait sire Yvan.

      • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

        ça va viendre un jour ma chère 😉

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      un festival naissant tâtonne toujours, faut trouver la bonne date et la bonne carburation.

  3. Ah oui c’est vrai que là il fallait faire un choix. Ce fût QdP. Mais je n’ai point dit mon dernier mot. Le festival sans nom me tente déjà depuis sa première édition. J’espère juste qu’il sera un peu plus tardif l’an prochain. surtout que comme toi j’aime m’attacher à mieux connaitre l’univers de l’auteur.
    Et merci pour ce beau partage.

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      ben là tu aurais pu passer de longs moments avec eux 😉
      Ellory a pu longuement tester mon effroyable anglais (le pauvre), Mallock a supporté mes blagues à la con (le pauvre). Pour Mention ça va je crois, j’ai été sympa avec lui 😉

  4. Juste pour faire bisquer les fans : j’ai échangé mon t-Shirt « Strange » contre le CD de la maquette du prochain album du groupe de Ellory, Zero Navigator. Si ça ce n’est pas du collector! (Bon, même s’il m’a fallu poser avec lui, après quelques bières, déguisé en costume alsacien…et ça aussi, c’est collector, puisque photo prise par Vicky, la femme d’Ellory!)

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      Je n’ai pas osé poster cette photo de vous en alsaciens, mais si tu insistes, je peux le faire 😉
      Moi j’ai eu son CD sans devoir donner ma chemise 😉
      J’ai des vieux « Strange » encore dans un carton, dire que tu es sans doute responsable du fait qu’ils existent

  5. Dementi formel : Yvan parle bien anglais contrairement à ce qu’il affirme !!

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      tu ne m’as pas entendu bafouiller le dimanche en essayant de parler musique. Bon de ce cot »é là j’ai trouvé un bon truc, je lui parlais en utilisant des titres de chansons 😉

  6. ne fais pas ton modeste !! je t’ai entendu discuter avec Ellory et j’aimerais pouvoir parler aussi « mal » que toi !!!

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      mouais… j’aurais tellement de choses à lui dire, que mon niveau empêche complètement

  7. Merci pour ce partage d’autant plus que ton plaisir est communicatif !

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      tant mieux alors 😉

  8. Si je comprends bien, tous les hommes ont fini torse nu sur la scène en délire ?? Hein ? Bon, tant pis… mais puisque Manook parlait d’avoir donné son t-shirt… :p

    Put***, sal*** ! Tu me donnes envie de faire tous les salons, bougre de sagouin ! 😀 Va falloir que je médite sur les salons… rencontrer les auteurs, c’est le pied. Et j’aimerais me faire dédicacer mon « Yeruldelgger » par l’auteur puisqu’il avait gentiment posté un comm sur mon blog en me disant que c’était la première fois qu’il était offert en cadeau d’anniversaire 😉

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      tu n’as qu’à t’en mordre les papattes, je t’avais dit de venir ;-). Dois-je rajouter que Manook est un homme aussi sympathique que intelligent ? 😉

      • Mais la question reste la même : je fais quoi de chouchou ?? Il y a des garderies, dans les festivals sans nom ou de Lyon (pour rugir de plaisir) ???

        Voilà tout mon soucis, c’est où je case le « p’tit » pendant que je m’amuse avec les fous de FB… mais je compte venir à « Ça bourre » un jour, j’ai envie de visiter la France et les librairies de ta patrie, surtout !! 😉

        • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

          ben je ne sais pas moi, il a quoi comme passion Chouchou en dehors de toi ? (ce qui doit déjà être une passion dévorante à temps plein)

          • Flatteur, va !! Il aime la photographie, mais se promener toute une journée dans une ville, seul comme un chien, ça le fait moins marrer.

            Quand je ne suis pas là, il tire la même tête que mon pauvre chien faisait quand je l’abandonnais à la maison durant quelques heures… ça mange pas, ça boit pas, ça se traine et ça agite fort la queue quand je reviens.

            Je suis partie un w-end avec ma frangine et il a dormi dans le divan et à tourné comme un damné dans toute la maison (j’avais déjà plus mon chien pour tourner avec lui).

            Je pourrais lui payer les madames un peu légère, ça l’occuperait un certain temps, non ??

            • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

              ahahah s’il te lisait ! 😉
              Bah Ellory a bien fait le tour de Mulhouse pour tout prendre en photo (même Domi et moi, voir son reportage photo sur sa page), ptet qu’il pourrait parler photographie avec les auteurs 😉
              Sacrée Belette, va !

  9. Bonjour,
    Superbe article !
    J’admire moi aussi RJ Ellory que j’ai donc rencontré cette année et l’an passé. Un grand homme absolument passionnant à écouter. Il est fascinant et tellement sympathique !
    Malheureusement, je suis tellement timide que je n’ai pas encore vraiment discuté avec lui, j’ai échangé quelques mots, il m’a reconnu et m’a souri quand il m’a revu une 2nde fois dans la journée de samedi et ça m’a fait super plaisir, mais je crois que je suis impressionnée devant lui (ma petite taille y est peut-être aussi pour quelque chose) et je n’ai encore jamais partagé mon ressenti/mon avis sur ses livres, ce qui est bien dommage et me met un peu mal à l’aise, il doit se poser des questions, le pauvre, elle ose rien dire la petite !
    Super en tout cas qu’il vous ait offert son premier roman publié en anglais, quelle chance !

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      Merci beaucoup pour ce commentaire qui me touche beaucoup !
      Je me souviens de ma première rencontre avec Ellory l’an dernier, je n’en menais pas large ;-). Il a très vite réussi à me mettre à l’aise. Cet homme est d’une gentillesse incroyable et a une capacité de se souvenir des visages et des noms proprement stupéfiante ! Pas étonnant qu’il t’ai reconnu, donc 😉
      Mon regret est d’avoir un anglais trop limité pour pouvoir lui dire tout ce que je pense de ses romans, mais vraiment n’hésite surtout pas la prochaine fois que tu le croiseras, je peux t’assurer qu’il te mettra rapidement à l’aise
      A bientôt

  10. Waouhhh…SUperbe compte rendu qui me laisse baveuse!!!!! 🙂

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      veux-tu bien te servir de ta bavette ! (ou alors on dit un essuie-bouche en Belgique ?) 😉

      • Ohh tu te moques toi!!! Pas bien..enfin nous on n’essuie pas la vaisselle avec un torchon hein! 😛

        • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

          Moi me moquer ? Mais comment peux-tu imaginer une telle chose de ma part, Fourchette 😉

  11. Lord Arsenik – Noumea - Nelle-Calédonie

    Heureusement que je ne cours pas après les auteurs et les dédicaces, ils ne sont pas nombreux à venir s’égarer à Nouméa… D’un autre côté me faire dédicacer un ebook ne doit pas être simple.
    Si un jour je remets les pieds dans la lointaine Métropole j’essayerai de choisir une période festivalesque et livresque 🙂

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      Ah bon, tu ne veux pas faire signer ta liseuse ?! 😉

  12. Je ne raterai pas la prochaine édition, promis.

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      Attention Agnès, j’ai une excellente mémoire 😉

  13. c’est vrai que c’est dommage que ces salons moins connus que les grosses babasses comme QDP n’attirent pas plus de monde. Idem pour Cormeilles en Parisis, on y croise 3 pelés, 2 tondus et quelques autochtones curieux qui ont vu de la lumière. Enfin ça c’était il y a 2 ans quand j’y suis allée…
    Le bouche à oreille et un changement de date peut être…

    • Yvan – Strasbourg – Les livres, je les dévore. Tout d’abord je les dévore des yeux en librairie, sur Babelio ou sur le net, Pour ensuite les dévorer page après page. Pour terminer par les re-dévorer des yeux en contemplant ma bibliothèque. Je suis un peu glouton. Qui suis-je : homme, 54 ans, Strasbourg, France

      les absents ont toujours tort, c’est une preuve irréfutable.
      Oui il faut du temps et il faut que les gens ne pensent pas juste qu’aux manifestions les plus médiatiques

Rétroliens

  1. Le « Festival sans Nom » 2015 – Salon du polar de Mulhouse – Premières infos | EmOtionS – Blog littéraire et musical

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